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A propos...

bonjour,

c'est Camille... je vous invite à vivre une nouvelle aventure avec moi. je m'engage dans un nouveau jeu dont je ne connais ni le règles ni la nature... peut être que ça vous donnera des idées... Bienvenue dans le monde des merveilles du sexe !

En ce jour d'anniversaire, je vous préviens, messieurs, vous allez trembler et vous mesdames, vous allez apprécier !

N'hésitez pas non plus à vous inscrire à la newletter afin d'être prévenu dès la sortie d'un nouvel article et de ne louper aucune miette de mes aventures.

à suivre...

 

Lundi 22 mai 1 22 /05 /Mai 20:21

Camille grimpa sur le lit et s'installa entre les jambes de cet homme. Elle se mordait tendrement les lèvres. L'homme souleva lentement son bassin, incitant Camille à le déshabiller plus vite. Mais elle tint et resta maîtresse du moment.

Elle se surprit à apprécier la domination qu'elle exerçait sur cet homme. Elle ressortit sa main et entreprit de le déboutonner... lentement... très lentement. Elle se regarda avec des yeux de chat et lui sourit. Elle lècha ses lèvres avec sensualité tout en le regardant. Le premier bouton cèda enfin. Elle découvrit un slip moulant noir.

Camille présenta ses lèvres mouillées et roses à l'homme. Il tenta de se lever pour l'embrasser mais ses menottes le retinrent solidemment attaché.

Monsieur K. zooma avec exactitude sur sa jeune assistante. La rouquine se souleva légèrement et offrit un spectable inédit. Tous les miroirs reflétèrent joyeusement ses cuisses et ses dessous. Monsieur K., depuis sa salle de commande, se sentit obligé de se lever. Il se rendit alors compte qu'il avait du mal à supporter que Camille puisse se donner et éprouver du plaisir avec un autre homme que lui ! Il secoua la tête et empoigna sa télécommande.

Camille entama alors l'ouverture du second bouton. La tension palpable qui émanait de cet homme l'excitait énormément.

- Alice, détache moi ! s'exclama l'homme très excité.

Elle secoua ses boucles rousses et fronça le nez. Elle lui sourit tendrement. Elle plaça ses doigts sur sa bouche et déposa un baiser sur son torse. Elle sentit le second bouton craquer sous ses doigts. Puis cèda le troisième et enfin le dernier. Elle découvrit une bosse impossante dans l'ouverture de son pantalon. La torture avait duré assez longtemps. Camille sentit l'envie grandir en elle. Elle donna un petit coup dans les hanches de l'homme qui les souleva aussitôt. Elle lui fit rapidement glisser le jeans jusqu'aux genoux. Elle caressa lentement la bosse frémissante. Elle se pencha doucement, gardant les yeux fixés sur l'homme. Elle déposé un baiser tendre sur le membre couvert de l'homme.

Elle rejeta la tête en arrière. Il se sentait prêt à jouir, privant Camille d'un plaisir bien mérité. Il lâcha un soupire bruyant. Camille ferma les yeux et gémit légèrement. Elle empoigna le pénis de son prisonnier et le masturba avec douceur. Toujours emprisonné dans son morceau de tissu élastique, il frémissait sérieusement.

Camille sourit en gardant les yeux fermés. Elle savourait cet instant qui serait à jamais pour elle. Soudain, l'homme émit un son rauque. Camille sentit un liquide épaix mouiller ses mains à travers le tissu. Elle se redressa, furieuse.

- Et moi ? cria-t-elle en descendant du lit.

Il leva légèrement les mains vers le ciel, du moins, autant que faire se peut. Camille lui frappa les cuisses et descendit du lit.

- Egoïste !

Elle sentit alors des mains viriles lui prendre les hanches. Elle tenta de se libérer, plus surprise qu'en danger. Une ordeur rassurante et connue. Il la prit dans ses bras et la cajola. Il laissa glisser ses mains sur ses cuisses. Il la caressa avec force. Ses doigts entrèrent rapidement dans son vagin. Il la doigta avec fermeté. Elle rejeta la tête en arrière.

- J'ai les clés de ton royaume Camille...

Il la retourna brutalement et la plaqua contre un miroir. Il l'embrassa et retira ses doigts mouillés. Il les lècha puis les introduit dans la bouche de Camille. Lorsqu'il les retira, elle dit :

- Fait moi l'amour ! ordonna-t-elle. Correctement ! Comme j'ai envie !

- A vos ordres... Souhaitez vous que l'on change d'atmosphère ?

- Oui ! Changeons !

Il lui prit la main et actionna la télécommande. Une porte miroir s'ouvrit alors. Il lui murmura avant de franchir la porte :

- Tu devrais prendre ton panier, il pourrait être utile !

Elle se retourna et fit quelques pas. Elle se pencha et offrit ses fesses aux yeux des hommes dans la salle aux miroirs.

Ils marchèrent dans un couloir. Monsieur K. souleva brutalement Camille et laissa tomber son patalon au sol.

à suivre...

Par camille - Publié dans : camille au pays des merveilles
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Mardi 11 avril 2 11 /04 /Avr 21:30

Elle tendit la bras, exposant davantage ses parties intimes. Malheureusement, les clés semblaient inaccessible.

- Mais pourquoi tout est trop court chez moi ! s'entendit-elle se plaindre.

- Oh non, mademoiselle, je trouve que votre poitrine est parfaite... sans parler de...

Il ne termina pas sa phrase. Camille releva la tête et vit les miroirs en face d'elle refléter ses sous-vêtements et sa peau rose. Elle se redressa immédiatement et le regarda avec dureté.

- Vous auriez pu me le dire !

- Et me priver d'un tel spectacle ? Vous plaisantez ??

- Gougeat ! s'écria Camille en colère.

 Elle se releva et le regarda avec dureté. Il tira brutalement sur ses liens et Camille recula.

- Finalement, je vais attendre sagement que vous en ayez assez. Et quelqu'un viendra bien m'ouvrir la porte.

- Personne ne viendra ! prévint l'homme.

- Je sais être patiente ! lança Camille. Disciplinée, sage et angélique.

- Vous vous flattez Mademoiselle !

L'homme se débattit et tenta de retirer ses poignets des morceaux de fer qui le retenaient prisonnier. Camille le regarda avec une certaine satisfaction se débattre pour tenter de se libérer.

- Et bien ? Vous me détachez ou pas ?

- Ou pas ! répondit Camille avec fierté.

 Elle s'assit par terre et attendit. Elle promena son regard sur le miroirs. Puis ses yeux se posèrent sur l'homme menotté au lit.

- Alors ? On perd patience Alice ?

- Non pas encore... sourit-elle. Je me demandais juste comment c'était possible de placer une poigné dans une porte miroir sans emplacement ?!

- Futée la jeune fille !

- Il n'y a ni emplacement, ni poigné, ni porte ! conclut-elle.

- Très futée ! répliqua l'homme.

- Comment êtes-vous arrivé ici... ?

- J'ai traversé la porte du monde merveilleux où j'ai cherché Alice mais malheureusement le méchant sorcier m'a enfermé ici et m'a dit d'attendre...

Monsieur K. se redressa sur son siège et toussa, visiblement, pas content de se voir traiter de méchant sorcier. Il fit glisser la molette de sa souris et fit un zoom sur le visage de Camille.

- Tellement belle... ma petite Camille...

- Un sorcier ?! répéta Camille sans conviction. Vous m'en direz tant !

Elle regarda l'homme pour la première fois depuis son entrée dans la salle. Elle remarque qu'il était musclé et qu'il semblait étonnant que de simples menottes puissent le retenir à ce lit. Son torce imberbe et musclé appelait les caresses de mains douces et féminines...

Elle se mordit la lèvre inférieure, les yeux fixés sur le bassin du jeune homme. Elle se leva et se dirigea vers l'homme. Elle plaça ses mains sur ses pectoraux. Ses doigts glissèrent lentement sur les courbes de son corps. Camille apprécia la douceur et l'onctuosité de l'organe le plus sensible du corps humain...

Elle caressa la voluptueuse peau bronzée. Elle approcha ensuite ses lèvres pulpeuses du torse de cet homme réduit à l'impuissance. Elle entendit gémir.  Elle redoubla d'ardeur et l'embrassa langoureusement.

- Encore, murmura-t-il.

Camille obéit et poursuivit sa lente séduction. Elle embrassa le bas ventre et sentit le membre d'amour se durcirent. Elle souleva légèrement le jean moulant qui couvrait cet être à moitié nu.

Elle glissa sa main à l'intérieur et empoigna l'engin.

à suivre...

Par camille - Publié dans : camille au pays des merveilles
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Dimanche 9 avril 7 09 /04 /Avr 21:37

Camille hésita. Peut être cet homme ne voulait que lui faire du mal. Les froissements de sa robe bleue la surprirent. Elle s'arrêta et tourna la tête. Elle se vit, fine et désirable dans cette tenue enfantine. Elle ferma les yeux et ravala ses larmes. Il lui fallait s'armer de courage pour sortir de cet endroit. Elle regretta d'avoir voulu tenter cette folle aventure.

- Pourquoi j'ai écouté !!! Pourquoi suis-je venue ?

Ses jambes se dérobèrent sous son poids. Elle tomba au sol et sentit les larmes qu'elle avait courageusement retenues jusqu'à maintenant couler le long de ses joues roses.

Depuis la salle de contrôle, Monsieur K. se redressa sur son siège brutalement et pressa le bouton du zoom pour voir Camille. Un sentiment de culpabilité l'envahit brutalement. Il regretta de l'avoir conduite jusqu'ici. Son jugement avait été trompé : Camille n'était pas prête pour cette expérience.

L'homme allongé sur le lit se redressa tant bien que mal.

- Mademoiselle...

Camille secoua ses boucles rousses, mouillant ses joues de plus belles.

- Ecoutez... personne, ici, n'est autorisé à vous faire le moindre mal. La seule manière de figer la situation est de dire NON. Nous respectons cette décision. Vous n'avez pas besoin d'avoir peur, vous êtes en sécurité ici. Alors ne pleurez pas... Vous êtes si jolie...

Camille releva la tête et sourit tristement. Monsieur K. la regarda, le coeur serré. L'espoir qu'elle accepte ce jeu grandissait au fur et mesure que l'homme tentait de la rassurer. Camille inspira un grand bol d'air et se releva. Elle essuya ses larmes d'un geste de la main.

Monsieur K. hocha la tête et sourit, satisfait de ne pas s'être trompé sur le compte de Camille. Il se laissa tomber en arrière contre son siège moelleux.

Camille s'approcha doucement de l'homme. Elle repéra les clés suspendues à un petit crochet au dessus de la tête de l'homme. Il lui fallait grimper sur le lit et une fois debout elle pourrait les attraper...

Rassemblant tout son courage, elle se dirigea vers le lit et entreprit de grimper dessus. Elle estima que ce lit était plus haut que les lits standards qu'on trouvait dans le commerce. Elle posa ses mains sur le matelas et constata qu'il s'agissait d'un matelas à eau. Elle retira ses chaussures et posa le pied sur le montant en bois. Ses chaussettes se posèrent délicatement sur le matelas rebondi. Un sourire lui échappa. Elle n'avait jamais eu l'occasion de tester un lit à eau. L'homme sentit que Camille se détendait doucement. Il apprécia le spectacle. Elle se pencha et posa le second pied. L'homme eu une vue imprenable sur son décolleté. La vue de la naissance de ses seins provoqua une brutale érection bien visible.

Camille n'y prêta aucune attention. Elle se tint debout, près de l'homme. Elle tenta d'attraper le jeu de clé mais visiblement il était plus haut qu'elle l'avait estimé. Elle souffla bruyamment.

- J'y arrive pas ! lâcha-t-elle d'une petite voix.

Elle baissa les yeux et vit que l'homme se rinçait l'oeil sous la petite jupe à jupons de Camille. Elle plissa les yeux et dit alors avec autorité :

- Cessez de loucher sur mes dessous.

- Bien Madame ! Puis-je alors toucher ?

- Certainement pas ! s'exclama-t-elle indignée.

- Dommage !

Elle se hissa sur la pointe des pieds mais il manquait encore quelques centimètres.

- Zut !

Le montant de bois était trop étroit pour accueillir ne serait-ce que la pointe de son pied. Elle baissa les yeux et dit à l'homme :

- Fermez les yeux. Je ne veux pas que vous me matiez !

Il s'exécuta aussitôt. Camille plaça ses yeux de part et d'autre des épaules du jeune homme. Elle baissa encore une fois les yeux et observa cet homme qui obéissait à ses ordres. Elle se surprit à le trouver beau. Ses cheveux bruns étaient bien coiffés et sa barbe rasée de frais lui donnait un style qui séduirait bon nombre de femmes.

Elle releva la tête et tenta d'attraper encore une fois ces fichues clés. Mais rien n'y faisait, les quelques centimètres qui manquaient auparavant, manquaient toujours. Elle soupira et il ouvrit les yeux. Elle se hissa sur la pointe des pieds et tendit courageusement le bras droit, en prenant appui sur le mur avec sa main gauche. L'homme ausculta des yeux les mollets blancs de Camille. Ses yeux se promenèrent lentement sur ses mollets, grimpèrent le long de ses cuisses blanches parsemées de quelques tâches de rousseur. Il inspira et savoura la vue qu'il avait sur ses fesses fermes qu'elle crispait pour attraper les clés. Il se mordit légèrement en voyant la ficelle de son string noir et rouge à dentelle glisser avec douceur entre les lèvres intimes de Camille. Le tissu laissait deviner la forme de ses parties secrètes. Il rêva d'y glisser sa langue, ses doigts, son pénis.

Il savoura en fermant les yeux. Camille baissa la tête pour vérifier qu'il fermait bien les yeux. Elle se remit à son ouvrage.

L'homme s'imagina en train de faire l'amour à cette jolie plante blanche et fraîche. Son vagin devait être serré. Une jolie jeune fille bien étroite où il pourrait s'engouffrer et rester au chaud, la faire gémir de plaisir, la caresser encore et encore, la pénétrer brutalement, lui prendre les cheveux, se sentir homme fort.

Camille entendit les menottes bouger, les clés tombèrent sur le sol. Elles longèrent le mur et s'écrasèrent sur le carrelage blanc. Elle inspecta l'écart entre le lit et le mur. Elle vit alors les clés.

- Je vais les chercher.

Elle descendit doucement du lit et se mit à genoux, offrant l'entrée de son vagin aux miroirs. L'homme tourna la tête attendant avec impatience de la prendre tout entière... et de la savourer jusqu'au fond... de la nuit.

à suivre...

Par camille - Publié dans : camille au pays des merveilles
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Samedi 18 février 6 18 /02 /Fév 17:19

- Je n'aime pas faire mal aux femmes... dit l'homme de la sécurité.

Difficile à croire lorsqu'on voyait la carrure de l'homme en face d'elle. Elle voyait distinctement ses muscles saillants à travers son haut moulant. Une gifle et elle ne pourrait plus se relever. Bon, pas de bêtises maintenant. Camille prit quelques secondes pour réfléchir et admit en son for intérieur, qu'il fallait lui obéir et qu'elle trouverait l'occasion de lui filer entre les doigts lorsqu'elle serait sortie de cette pièce.

- Vraiment ? Même sans faire exprès ? demanda Camille pour gagner du temps.

Elle découvrit un sentiment étrange qui la parcourut. Face à cet homme, elle se sentait à la très forte et particulièrement faible. Comment pouvait-on lier les deux dans une telle situation ? Il l'empêchait de sortir et rien ne lui interdisait de lui faire mal si l'envie lui prenait. Il lui fallait remettre de l'ordre dans ses pensées. La montée d'adrénaline avait atteint son cerveau et les effets commençaient à s'atténuer. Sa force légendaire était en train de la quitter. Elle se résigna et s'approcha de la chaise. Elle déplia une robe bleue avec des jupons. Elle l'appliqua contre elle et constata que l'homme n'avait pas menti. Ce vêtement avait été fait pour elle. Les dimensions étaient bonnes. Elle observa les coutures et la forme de la robe. Elle baissa les yeux et vit des sous vêtements. Aux pieds de la chaise, elle vit des petites chaussures noirs.

Elle remarqua également un panier en osier posé soigneusement à côté de la chaise métallique. Finalement, qu'est-ce qui pouvait bien la retenir de se lancer dans cette aventure... ? Elle secoua ses boucles rousses et fronça doucement le nez. L'homme fut surpris d'une telle réaction.

- Retournez-vous que j'enfile cette robe.

- Monsieur K. m'a interdit de vous quitter des yeux. Ce soir , ma responsabilité est de vous conduire jusqu'à lui.

Voilà qui changeait bien des choses ! pensa Camille folle de joie. Etait-il encore nécessaire de s'enfuir ?

Camille soupira malgré la joie de cette nouvelle ; elle ne tenait pas à ce que cet homme la vois nue pour se changer. Elle chercha dans sa mémoire quand est-ce qu'un homme l'avait observée se changer. En fait, jamais. Il faut un début à tout !

Elle se tourna, offrant son dos à l'homme chargée de sa sécurité ce soir. Elle retira son chemisier blanc puis dégrafa son soutien-gorge. Toujours tournée, elle sentait le regard le l'homme peser lourd sur elle. Elle fit glisser son soutien-gorge au sol, laissant entre apercevoir un bout de son sein blanc, et entendit l'homme respirer bruyamment. Elle s'empressa de prendre le soutien-gorge vert émeraude posé sur la chaise et l'enfila. Rapidement, elle fit glisser son pantalon sur ses chevilles. L'homme découvrit un long collant clair. Camille retira ses chaussures noirs et déposa non loin d'elle. Elle pinça le haut de son collant et le fit glisser le long de ses jambes. Elle sentit clairement l'excitation de l'homme grimper le long de sa propre colonne vertébrale. Mieux valut ne pas traîner !

Elle serra les cuisses et tenta de retirer sa culotte blanche sans que cela déclenche une érection chez l'homme dans la pièce. Elle la fit glisser long de sa jambe droite et la retira entièrement dans un geste brusque. Elle attrapa les sous-vêtements et découvrit qu'elle tenait dans ses mains un string assorti ainsi qu'un porte jartelle.

- Restez où vous êtes ! ordonna Camille d'une voix autoritaire.

Mais il n'en écouta rien. Il s'approcha et Camille fit immédiatement le tour de la chaise. L'homme passe une main large pour attraper Camille et la saisit par le bras. Elle se débattit mais rien n'y fit. Il lui serra le bras et la souleva. Elle sentit ses mains d'homme sur sa peau blanche. Il touchait son ventre et lui caressait le sein droit à travers le fin tissu de ses dessous.

- Monsieur K. vous a dit que vous deviez veiller sur moi ! pas me faire de mal ! articula Camille en vain.

Il pressa fermement Camille contre lui puis balaya le reste de vêtements. Il l'assit de force sur la chaise froide. Elle sentit tous ses membres se raidir et malgré elle, elle sentit son vagin laisser couler du liquide. Elle ferma les yeux. Il s'accoupit et laisse glisser ses doigts sur les jambes nues de Camille. De fines larmes perlèrent au coin de ses yeux. Mais au lieu de lui faire mal, l'homme réprima son envie et lui enfila le string puis le porte jartelle. Avec une douceur déconcertante, il finit par lui enfiler les bas qui accompagnaient les sous-vêtements. Surprise, Camille se dressa devant l'homme agenouillé devant elle. Elle lui offrait son sexe caché dans un vêtement serré. Il souffla légèrement sur son sexe puis sourit.

Il se releva et prit la robe. Il lui dit, d'une voix grave :

- Levez les bras.

Sans broncher, elle s'exécuta. Il fit glisser la robe sur ses douces formes et ferma ensuite les boutons de la robe, en prenant soin de caresser ses seins. D'un geste il lui indiqua les chaussures. Elle glissa ses pieds dans les patins et se retourna. L'homme se pencha et plongea la main dans le panier. Il tira un serre-tête noir et une brosse à cheveux. Camille s'assit. Ses fesses heurtèrent le froid de la chaise. Elle ne put réprimer un frisson. Il lui brossa les cheveux. Il plaça délicatement l'accessoire sur sa tête et s'éloigna.

- Prenez le panier et suivez-moi. La nuit est courte et nous avons du chemin à faire.

Elle ne comprit pas ces mots mais se mit debout. La robe très courte, combiné aux dessous la glaçait. Il ouvrit la porte et invita Camille à sortir de la pièce métallique. La jeune blonde était toujours là. Elle les regarda et ouvrit une autre porte.

- Si Mademoiselle Alice veut bien se donner la peine d'entrer dans son pays... dit-elle avec un grand sourire découvrant ses dents blanches.

Camille se rendit alors compte, q'uelle avait céder un peu vite à l'armoire à glace. Celui-ci resta en retrait et attendit. Camille avança dans l'étroit couloir. Elle se retourna et dit alors à l'attention du gardien :

- Vous ne venez pas ?

- Je ne serais pas loin... Trouvez le lapin blanc et rejoignez le monde réel, si vous en avez toujours envie !

Face à ces paroles mystérieuses, la blonde ferma la porte sur Camille, la laissant seule avec son panier. Elle s'avança et se retrouva face à 3 portes de couleurs différentes.

- Mais où suis-je tomber ?? s'exclama Camille tenant fermement l'anse de son panier.

- Dans mon petit monde... murmura Monsieur K. depuis la salle de contrôle. Et bien, Camille, que dis-tu de mon petit cadeau pour fêter notre toute première rencontre ? J'ai fait construire ce monde rien que pour toi et moi. J'espère qu'il te plaira...

Camille n'eut pas la possibilité d'entendre ce que venait de déclarer Monsieur K. L'aventure ne faisait ne commencer et elle s'annonçait déjà vigoureuse.

Camille s'approcha des portes et observa les gravures. Devant elle, se trouvait une porte rouge, une bleue et une verte. Elle inspira un grand bol d'air et pressa la poignée de la porte rouge. Elle se retrouva dans une grande pièce dont les murs avaient été recouverts de miroirs. Devant elle, un large lit aux draps blancs. Elle vit un homme attaché par des menottes aux barreaux du lit. La porte rouge se ferma derrière elle. Elle se retourna vivement et voulut ressortir malheureusement la poignée de ce côté-ci de la porte avait été retirée.

Elle déglutit et regarda l'homme allongé sur le lit. Il leva la tête et vit Camille.

- Veux-tu sortir ?

Camille hocha la tête, retenant ses larmes.

- Alors il te faudra trouver la poignée de la porte ! sourit l'homme. Et je sais où elle est... mais il faudra être gentille et me détacher...

Elle se rendit compte que l'homme n'était pas en position de négocier. Camille retrouva alors sa force et sa beauté.

- Dites moi où elle est et seulement là je vous détacherai...

- Bien... elle est dans le matelas du lit. Calée juste au milieu... toujours partante ?

Elle observa l'homme. Il était beau et lui plaisait. Camille fit un pas et se rendit compte que tous les miroirs lui renvoyaient son reflet - à l'infini.

à suivre...

Par camille - Publié dans : camille au pays des merveilles
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Samedi 18 février 6 18 /02 /Fév 15:39

Camille se mit lors en route vers cet endroit mystérieux où l'attendait Monsieur K.

Elle gara son auto propre et brillante devant un long bâtiment, qui à sa plus grande surprise, était faiblement éclairé. Elle coupa le contact et mis pied à terre. Elle glissa ses clés de voiture dans la poche de son pantalon. Elle jeta un rapide coup d'oeil en arrière pour s'assurer que l'immeuble de son appartement était toujours là. Il n'avait pas bougé.

Elle inspira un grand bol d'air et claqua la porte. Elle avança d'un pas décidé vers la lourde porte de métal. Elle s'attendait à voir de la ferraille partout et Monsieur K. avec une bouteille de champagne dans les mains prêt à sabrer le champagne pour l'événement. Mais quel événement déjà ? Elle fouilla dans sa mémoire afin de savoir ce qu'elle aurait pu oublier mais rien ne lui vint à l'esprit...

Devant la porte grise, sa main hésita à se poser sur la poignée. Peut-être ne devrait-elle pas être aussi impulsive. Elle entendit alors une petite voix lui murmurer à l'oreille :

"Il n'y a que ceux qui ne font rien qui ne jamais d'erreur, mais leur vie entière est une erreur".

Elle reprit courage et tira de toutes ses forces la porte. Le gris de la ferraille qu'elle s'attendait à voir avait été remplacé par une petite pièce chaleureuse et colorée. Camille n'en crut pas ses yeux. Elle se trouvait désormais devant un comptoir brillant recouvert d'une mousse rouge. Elle entra et constata que ses talons ne résonnaient pas. Elle venait de poser le pied sur une moquette bleu ciel très douce au regard.

Camille se sentit désarmée devant ce spectacle inattendu. Soudain, une jolie jeune fille blonde apparut derrière le comptoir et lui sourit. Camille sursauta en la voyant. Elle portait un déguisement. Elle était vêtue d'une longue robe bleue et portait une couronne dorée qui mettait, avec grâce, en valeur ses longs cheveux blonds. Camille se demanda soudain dans quel aventure elle venait de se lancer.

La lourde porte de effraya Camille en se refermant. La jeune fille parut folle de joie en voyant Camille. Elle sauta sur place et frappa dans ses mains.

- Il nous a prévenu que vous viendriez. Nous vous attendions. Votre vêtement est prêt et vos accessoires sont dans le panier. Etes-vous prête ?

- Mais enfin, prête à quoi ? s'étonna Camille.

La blonde fit le tour du comptoir et souleva le panneau. Elle sortit et se dirigea vers une porte discrète sur le côté. Camille constata alors qu'elle s'était trompée quant à la longueur de sa robe. Elle était loin d'être longue comme elle l'avait pensé au départ. au contraire, elle était très courte et laissé ses longues jambes lisses et bronzés à l'air libre.

Elle invita Camille à la suivre d'un geste très doux. Avec méfiance, elle s'avança pour voir ce que contenait cette pièce. Celle-ci, contrairement, à l'accueil, n'était que très sommaire. Pas de paillettes, pas de moquette bleu ciel, et encore moins de mousse rouge.

- Quel endroit étrange ! s'entendit dire Camille.

- Et vous n'avez encore rien vu !

La jolie blonde sourit, soulevant ainsi ses seins ronds et bronzés que laissait apparaître son large décolleté. Elle lui prit doucement la main et la fit entrer dans la petite pièce. Elle désigna le costume soigneusement posé sur l'unique meuble de la pièce : une chaise.

- Vous ne pensez tout de même que je vais porter ça ! s'exclama Camille indignée.

- Si vous ne le faites pas, je serais obligée de faire appel à la force, prévint la blonde.

Camille explosa de rire. Elle ne se moqua de la remarque de la jeune fille et encore moins d'elle... mais cette phrase, Camille ne l'avait entendu que dans les films. Elle s'attendait à ce que la blonde en fasse autant mais elle ne semblait pas prompt à rire.

- Vous êtes sérieuse ! s'écria Camille lorsqu'elle eut finit de rire. Vous avez l'air si fragile, vous ne me faites pas peur.

- Je n'ai pas dit que ce serait moi qui vous y obligerais...

"Une blonde intelligente - on aura tout vu" pensa Camille.

Camille sentit une présence derrière elle. Avec prudence, elle se retourna et vit un homme, grand, taillé comme une armoire à glace se dresser devant elle.

- Ce sera lui, poursuivit la blonde.

Camille ne se sentait pas du tout à son aise. La taille d'une seule de ses mains suffisait à prendre ses deux seins. La diplomatie ne servirait à rien. Elle sentit son estomac se nouer et ses jambes se transformèrent par enchantement en coton. Perdre conscience dans un tel endroit, ne serait pas opportun. Camille se ressaisit.

- Monsieur ?! Puis-je vous aider ? demanda Camille avec douceur.

- Monsieur K. exige que vous enfiliez ce vêtement, tonna-t-il.

Camille fit un pas en arrière, et se retrouva, malgré elle, dans la petite pièce.

- Il l'a fait faire en votre honneur et vous devez la porter pour cette nuit. Il vous attend.

- Où est-il ? demanda Camille. Peut-être pourra-t-il m'expliquer cette mascarade.

Camille remarqua alors que la blonde avait rejoint son comptoir. L'homme de la sécurité entra dans la petite pièce et referma lentement la porte. Camille eut juste le temps de voir la blonde lui faire un signe de la main et un large sourire. Elle réagit aussitôt.

- Laissez moi sortir d'ici, ça porte un nom ce que vous faites !! cria Camille.

Mais l'homme se tenait devant la porte, impénétrable. Camille glissa sa main dans son pantalon et ne trouva que ses clés de voiture. Rien, à priori, qui pourrait lui être utile dans une telle situation.

à suivre...

Par camille - Publié dans : camille au pays des merveilles
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