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A propos...

bonjour,

c'est Camille... je vous invite à vivre une nouvelle aventure avec moi. je m'engage dans un nouveau jeu dont je ne connais ni le règles ni la nature... peut être que ça vous donnera des idées... Bienvenue dans le monde des merveilles du sexe !

En ce jour d'anniversaire, je vous préviens, messieurs, vous allez trembler et vous mesdames, vous allez apprécier !

N'hésitez pas non plus à vous inscrire à la newletter afin d'être prévenu dès la sortie d'un nouvel article et de ne louper aucune miette de mes aventures.

à suivre...

 

Vendredi 30 décembre 5 30 /12 /Déc 20:44

Camille prit le temps de se changer. Elle enfila un vêtement souple et brossa légèrement ses cheveux. Elle ne sentit pas la force de mettre un tailleur et encore moins de coiffer ses cheveux en chignon. Après tout, personne ne la verrait cette nuit. Les bureaux seront fermés et, mis à part Monsieur K. et elle, personne ne travaillerait...

Elle soupira et prit les clés de sa voiture. Elle se glissa dans son auto et introduisit la clé dans le boîtier de contact. Elle laissa échapper un nouveau soupire et l'espace d'un instant, se sentit terriblement exploitée. Camille s'enfonça dans son siège et eut soudainement envie de pleurer. Elle ravala ses larmes avec un dose de courage insoupçonné et démarra.

Elle conduisit lentement jusqu'au bâtiment sombre où elle venait travailler chaque jour depuis bientôt cinq ans. Elle gara sa voiture sur sa place habituelle et remarqua l'absence de celle de son patron. Elle laissa ses phares allumés et sortit de sa voiture. Elle regarda alentour. Plissant les yeux, elle crut voir une forme dans le hall. Elle se baissa pour retirer la clé et eut la désagréable sensation d'avoir quelqu'un penché au-dessus d'elle. Elle se redressa immédiatement. La peur l'envahit alors. Elle aurait préféré remonter dans sa voiture et rentrer chez elle en tout hâte.

Elle fit face à sa terreur et se retourna brusquement. Personne !

"Allons Camille, tu te fais peur toute seule !" se dit-elle sur le point de craquer nerveusement.

Elle empoigna son trousseau de clés et verrouilla sa voiture tout en avançant rapidement vers le bâtiment. Son pass lui ouvrit la porte. L'alarme ne se déclancha pas. Camille resta sur place quelques secondes puis s'accorda à penser que son patron devait l'avoir débranchée puisqu'il l'attendait. Il était inutile de faire venir les policiers pour une assistante trop consciencieuse !

Camille grimpa les marches quatre à quatre et arriva devant la porte du bureau luxueux de Monsieur K. Elle leva la main pour frapper à la porte. Elle s'attendait à ce qu'il 'louvre avant que son poing ne heurte le bois verni. Mais rien ne se passa. Elle frappa trois petits coups. A son plus grand étonnement, elle n'obtint aucune réponse. Camille fut très surprise. Elle tourna la poigné de la porte et s'aventura lentement dans le bureau. Celui-ci était vide. Monsieur K. ne s'y trouvait pas.

Par contre, ses yeux rencontrèrent des bougies, et son nez fut chatouillé par un doux parfum fruité. Elle entra dans la pièce en prenant soin de refermer le bureau. Elle savait que des caméras étaient fixées dans le hall. Elle pourrait vérifier si quelqu'un est encore dans le bâtiment, et si Monsieur K était sortit... Oui, voilà une excellente idée !

Elle s'apprêta à ressortir lorsqu'une feuille de papier sur la table basse, entourée de bougies, attira son attention. Elle hésita puis finalement,  elle prit le papier et le lut :

"Je suis sorti... Je voudrais que tu me rejoignes rapidement.

Voici l'adresse : XXXXXX"

Camille ouvrit de grands yeux. L'adresse indiquée était celle d'un vieux hangar abandonné. Elle fouilla dans sa poche et sortit son GPS portable. Ses soupçons venaient de se vérifier : le hangar se situait dans la zone industrielle derrière chez elle. Elle referma le clapet et le fourra à nouveau dans sa poche.

Elle se pencha et souffla sur les bougies. Elle venait de décider de s'engager dans l'aventure. Elle ignorait quoi, comment et où... mais elle y allait !

à suivre...

Par camille - Publié dans : camille au pays des merveilles
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Dimanche 25 décembre 7 25 /12 /Déc 20:44

Camille est une assistante : chignon, tailleur sombre, toujours à l'heure et très seule. Elle travaille pour Monsieur K., patron d'une société à l'activité florissante.

Durant un court séjour à Paris, elle a eu l'occasion de connaître une facette de la personnalité de son patron. Mais notre belle est très loin d'être au bout de ses surprises...

De retour à la maison, la routine se réinstalla quasiment instantanément. Monsieur K. serait absent durant les trois prochains jours de travail.

Monsieur K. l'avait gentiment embrassée sur la joue à la descente de l'avion. Etrangement, elle ne se sentit pas vexée, juste triste de devoir se séparer. Il la mit dans un taxi qui la raccompagna directement dans son deux pièces vide. Un sentiment de solitude l'envahit alors. Elle soupira et de chaudes larmes lui glissèrent le long des joues. Sa vie ne lui plaisait pas. Elle s'accorda le fait, qu'à cet instant, elle avait envie d'un homme tendre qui lui tende les bras et la réconforte. Elle avait envie d'entendre une voix masculine qui lui murmure à l'oreille qu'elle est belle, et que sans elle, la vie ne vaut pas la peine d'être vécue.

En réalité, ses réflexions incohérentes la conduisirent à une conclusion inexorablement véridique : elle n'avait pas envie de n'importe quel homme ; elle voulait Monsieur K. Elle se ressaisit et se leva. Sans hésitation, elle prit le combiné et composa le numéro du bureau. Sachant pertinemment, que son numéro serait masqué, elle appela le bureau. La sonnerie stridente résonna sept fois dans son oreille droite et finit par s'éteindre. Elle entendit alors une voix masculine prononcer un simple mot :

- Allô ?

Brutalement, le courage rassemblé lors des quelques secondes précédentes, venait de s'évanouir dans le néant. Les mots restaient coincés dans sa gorge. Quelle horreur !

- Allô !

- Bonsoir, c'est Camille ! s'entendit-elle dire.

Il y eut un silence écrasant. Elle fut persuadée de l'entendre sourire. Camille le voyait distinctement, comme s'il était en face d'elle. Il devait sourire.

- Bonsoir ma Douce... comment vas-tu ? Le trajet du retour s'est bien passé ?

Désarmée ! Sa mémoire trouva le moment opportun pour raviver leur dernière séance d'activité sexuelle. Elle crut, l'espace d'un instant, se trouver dans la salle de bain au carrelage blanc, voyant Monsieur K avec elle dans la douche en train de la pénétrer. Ses joues, de nature très blanches, virèrent au rouge vif.

- Oui, sans encombre. C'est parfait.

- Je n'en doute pas. Tu es fatiguée ?

- Pas vraiment non... répondit Camille en toute innocence.

Les souvenirs si excitants s'effacèrent avec autant de rapidité qu'ils étaient apparus dans son esprit. Elle sourit et se laissa tomber dans son canapé si propre. Elle avait très peu eu l'occasion de se prélasser. La paresse semblait un luxe purement inaccessible. Elle consacrait son temps, sa vie et son énergie à son travail. Et jusqu'à présent, elle aimait ça.

- Puis-je envoyer une voiture te chercher ? J'ai un quelques soucis avec le client que je dois voir demain. Il semble qu'il manque des documents dans son dossier. Je ne m'y retrouve pas dans ton classement.

Camille se redressa subitement. Elle pensait avoir mal entendu ces paroles.

- Pardon ? s'exclama-t-elle sur la défensive.

- Et bien, je dois voir un client demain et j'ai un soucis dans ton classement. Il me manque l'acte de redressement judiciaire du tribunal.

Non, non, elle avait parfaitement entendu et parfaitement compris ce qu'il avait dit. Elle laissa le silence prendre sa place comme il se doit. Il fit de même pendant quelques secondes.

- Peut-être es-tu trop fatiguée... je n'aurai pas dû abuser de ma position de cette manière. Je suis navré.

La petite voix de la conscience (professionnelle) lui rappela aussitôt que sa prime de fin d'année dépendait du chiffre d'affaires réalisé et que s'il perdait cette affaire, elle perdrait aussi.

- Non, pas du tout. Je serais là dans quinze minutes. Je pars de suite.

Elle jeta un oeil sur sa montre bracelet. Celle-ci indiquait minuit et dix-sept minutes.

- Très bien, je t'attends.

Monsieur K. sourit. Il se laissa glisser dans son fauteuil en savourant sa victoire. Il savait peser ses mots et savait également comment manipuler Camille. Il savait très bien qu'elle serait en colère en arrivant. Il allait la recevoir. Leur petit jeu ne faisait que commencer.

Il hocha la tête et se leva. Il se dirigea tranquillement vers son placard et sortit son trousseau de clés. Il introduisit doucement la clé dans la serrure et ouvrit la petite porte. Un sourire satisfait s'inscrivit alors sur ses lèvres. Il sortit d'épaisses bougies blanches et les disposa soigneusement dans son bureau. Il prit ensuite son briquet et alluma la première.

- Tout est prêt... je n'attends plus que toi.

Une partie de cache-cache était sur le point de débuter... un jeu plutôt particulier pour lequel Camille ne connaissait pas les règles. Alice aux pays des merveilles... mais serait-ce vraiment un rêve ?

 

Par camille - Publié dans : camille au pays des merveilles
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Dimanche 20 novembre 7 20 /11 /Nov 21:15

- ça va ? s'inquiéta-t-il.

Elle ne trouva plus la force de se lever. Elle comptait sur son patron pour prendre les choses en main et gérer la situation. Elle se sentait tellement bien et à la fois épuisée. Monsieur K. lui embrassa ensuite le front et se releva. Il sortit de la salle de bain. Elle entendit prendre quelque chose dans la penderie. Il revint, vêtu d'un peignoir blanc. Elle aida Camille a se relever et lui fit enfiler son peignoir. Elle se tenait debout, de dos au miroir. Monsieur K. tourna le robinet de la douche. L'eau cessa immédiatement de couler et il ferma la porte. Il sourit à Camille et lui tendit la main.

D'un geste lent, elle lui prit la main. Il la tira brutalement à lui et  la prit dans ses bras. Il la souleva et la porta jusqu'au lit. Il la déposa ensuite délicatement dans les draps. Il fit alors le tour du lit et se glissa sous les couvertures. Il s'allongea à côté de son assistante et l'enlaça. Ils restèrent dans les bras, l'un de l'autre, pendant un long moment. Monsieur K. en profita pour visiter la peau nue de Camille qu'il découvrait au fur et à mesure qu'il ouvrait son peignoir.
 
Le téléphone sonna bruyamment. Monsieur K. se retourna et décrocha le combiné. Il répondit d'une voix forte. Camille ne prêta aucune attention à ses paroles. Elle sentit, dans son dos, Monsieur K. raccrocher le téléphone. Il l'embrassa sur l'épaule nue et moucheté de roux. Puis il se leva et entreprit de s'habiller. Camille le regarda.
 
- Je dois y aller... mais je reviens dans une heure environ. Reste ici et repose toi.
Il se pencha et l'embrassa tendrement. Il enfila sa veste noire et sortit de la chambre. une foule de questions traversa alors l'esprit de Camille :
- Pourquoi avoir téléphoné dans ma chambre pour lui parler ?
- Qui a téléphoné ?
etc.
 
Camille bailla, ferma les yeux et s'endormit, laissant ces questions sans réponse... pour le moment !
 
à suivre...
Par camille - Publié dans : camille à l'hotel
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Dimanche 20 novembre 7 20 /11 /Nov 21:01

Monsieur K. bandait. Camille sentait l'eau ruisseler sur son corps et voyait les filets d'eau glisser sur son torse. Il ferma les yeux et pencha sa tête en arrière. Elle l'entendit gémir. Elle ferma les yeux à son tour et commença un mouvement de va et vient dans sa bouche. Elle laissa sa langue découvrir la verge de son patron. Les nervures qu'il présentait surpris Camille et lui permit de prendre un plaisir sadique. Elle fit glisser sa langue sur chaque nervure de son pénis. Elle passa longuement sa langue à la naissance du gland.

L'eau lui mouillait les cheveux. Elle leva les yeux et vit Monsieur K. savourer son traitement. Camille s'activa sur le pénis. Elle le prit dans ses mains et lécha tendrement le gland. Il baissa les yeux et la regarda. Il plaça ses mains sur le murs en face de lui, laissant l'eau et Camille se charger de son plaisir. Ses hormones commençaient à le chatouiller sérieusement. Il suivit le mouvement entraînant qu'imposait Camille, de petits coups de bassin.

Camille passa avec douceur ses dents sur le membre de son patron. Il gémit de plus belle. Camille sourit et s'activa. Elle le suça férocement.

- Encore ! murmura-t-il soumis.

Elle poursuivit son affaire et le suça, le lécha encore. Elle constata que la verge venait de durcir un peu plus. Elle sourit et leva les yeux. Monsieur K. se cambra et prit le visage de Camille dans ses mains. Il l'invita d'un geste doux à se lever. Il tenait toujours son visage entre ses doigts et approcha ses lèvres de celles de son assistante. Il l'embrassa tendrement et lui caressa le postérieur. Il prit dans ses mains d'homme les fesses de Camille.

L'eau de la douche coula dans son dos et elle sentit les poils de son corps se hérisser. Ses longs cheveux roux plaqués dans son dos excitèrent fortement Monsieur K. Il colla Camille contre lui et caressa les fesses de Camille qui reprenaient doucement leur  couleur naturelle - blanche.

Il recula légèrement et prit les poignets de Camille. Elle fit un tour sur elle-même et présenta son dos à Monsieur K. Il fit glisser son index le long de sa colonne vertébrale et descendit jusqu'aux reins. Ensuite il dirigea ses doigts vers les parties génitales de la jeune femme. Camille sentit aussitôt la verge de son patron se dresser entre ses fesses. Il se pencha légèrement et ses doigts entrèrent en contact avec le clitoris de Camille. Il descendit encore et enfonça ses doigts dans le vagin de Camille.

A son tour Camille se pencha légèrement et accueillit la verge de Monsieur K. entre ses fesses. Il retira ses doigts. Camille ouvrit la porte de la douche et sortit. Elle se plaça devant le miroir et posa ses mains sur le lavabo. Elle se pencha et offrit son vagin à son patron. Il sourit et s'approcha vivement. L'eau continuait à couler dans la douche. Monsieur K. prit son pénis et le plaça à l'entrée du vagin de Camille. Doucement, et sans mouvement brusque, il la pénétra. Il poursuivit par quelques mouvements de reins qui le conduisit rapidement au point de non retour. Il s'activa.

Il sentit l'orgasme monter en lui. Il plongea dans les entrailles de Camille et heurta le fond de son vagin. La soudaine douleur lui arracha un cri. Monsieur K. atteignit le comble du plaisir. Il se retira rapidement et éjacula sur la peau blanche et rosée de son assistante.

Camille soupira et s'assit sur le carrelage froid et blanc de la salle de bain de l'hôtel. Monsieur K. reprit son souffle et s'accroupit en face de Camille. Il lui caressa la joue.

à suivre...

Par camille - Publié dans : camille à l'hotel
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Lundi 31 octobre 1 31 /10 /Oct 00:00

Le silence régnait en maître dans la pièce. Monsieur K. sentit un élan de peur grandir en Camille. Il se retira et se dirigea vers le lit. Camille se redressa à son tour et le regarda. Il arracha brutalement le drap blanc et enveloppa la jeune fille rousse dans le tissu. Il essuya son visage et lui chuchota à l'oreille :

- Dis que tu veux rester dans la chambre toute la journée et que tu refuses d'être dérangée.

Camille inspira un grand bol d'air et laissa Monsieur K. la guider jusqu'à la porte. Il se plaça derrière la porte de façon à rester caché. Il souleva le drap et plaça sa main sur les fesses de Camille. Il plaça Camille devant la porte et l'ouvrit légèrement. Il fit glisser ses doigts entre les cuisses de la jeune femme. Elle se présenta à moitié nue à un jeune homme faisant parti du personnel de l'hôtel. Il tenait entre ses doigts le dossier que Camille avait donné à son patron quelques minutes plus tôt. Il lui tendit et la femme de ménage se posta derrière lui.

Monsieur K. enfonça doucement ses doigts dans le vagin de son assistante.

- Il faut que tu lui parles.

Camille tenait fermement le drap sur sa poitrine. Les mots restaient coincés dans ses gorge. Elle sentait ses joues rougir de plus belle ainsi que ses fesses blanches...

- Camille ! dis lui ! insista Monsieur K. avec autorité.

Elle sursauta et prit le dossier. Monsieur K. sourit, visiblement très satisfait des mouvements de sa jeune assistante. Elle fit un petit pas et jeta le dossier derrière elle. Elle se retourna et regarda les deux employés. Monsieur K. enfonça ses doigts plus profondément. Elle se força à fermer les yeux, n'osant pas affronter le regard de cet homme inconnu.

- Je garde la chambre pour la journée. Je ne suis souhaite pas être dérangée, sous aucun prétexte. Est-ce clair ? dit-elle d'une voix tremblante.

- Très bien Camille ! murmura Monsieur K.

Monsieur K. poussa doucement la porte en laissant le temps à Camille de reculer... Il retira ses doigts et la prit dans ses bras. Elle sentit alors la chaleur rassurante de son patron l'envahir. Ils restèrent un long moment dans les bras l'un de l'autre, simplement séparés par un fin tissu blanc. Il recula légèrement et l'embrassa sur le front avec une grande douceur.

Camille ne put retenir ses larmes. Elle se laissa aller. Depuis longtemps, elle ne s'était pas autorisé la moindre trace de faiblesse mais face à cet homme qui semblait prêt à la recevoir tout entière, elle avait envie d'être fragile et c'est ainsi qu'elle se sentait : faible et fragile. Monsieur K. semblait si fort, si puissant, si parfait.

Elle leva les yeux et le regarda. Il lui sourit et sécha ses larmes. Ensuite il lui prit la main et la dirigea vers la salle de bain.

- Tu te sentiras mieux après une bonne douche ! décréta-t-il.

Monsieur K. conduisit Camille dans la salle d'eau et la plaça devant le miroir. Il se baissa et ouvrit le robinet d'eau chaude. Le liquide transparent fut projeté dans la cabine de douche et coula rapidement vers le siphon. Il plaça Camille bien en face et se posta derrière elle. Lentement il lui prit la main qui retenait fermement le drap sur sa poitrine et  le drap tomba sans bruit sur ses chevilles. Monsieur K. observa la Camille qui se présentait dans le miroir. Il laissa ses mains visiter les moindres recoins de son corps et découvrit quelques taches de rousseur sur les épaules ainsi que quelques grains de beauté semés dans son dos.

- Que tu es belle...

Ses lèvres embrassèrent doucement la nuque de Camille, la naissance de ses épaules, son dos. Il caressa ses cheveux longs et roux.

Brusquement Camille sursauta : le téléphone portable de Monsieur K. sonnait. Le bruit strident effraya la jeune femme. Il secoua la tête et soupira. Camille sentit distinctement l'exaspération grandir autour d'elle. Monsieur K. se pencha et claqua la porte de la salle de bain.

- Et merde ! lâcha-t-il presque fâché. Je suis occupé.

Camille ne peut s'empêcher de sourire. Elle se retourna et éclata de rire. Elle se sentait bien mieux. Monsieur K. lui rendit son sourire. Il lui tendit la main et la guida, telle une princesse, vers l'entrée de la douche.

Elle ferma les yeux et laissa l'eau tiède ruisseler sur son corps. Monsieur la regarda un moment en observant les gouttes d'eau couler rapidement sur le corps de la rouquine. Ses cheveux commençaient à être mouillés. Il sentit l'excitation monter en lui devant un si joli spectacle. Il ne put résister et entra dans la cabine de douche. Camille l'accueillit avec un ravissant sourire. Elle laissa l'eau couler sur son corps et sur celui de son patron. Elle le regarda et ce fut à son tour de regarder son assistante avec des yeux remplis de questions.

Camille s'accroupit alors juste en face de son pénis et le prit dans sa bouche.

à suivre...

Par camille - Publié dans : camille à l'hotel
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