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A propos...

bonjour,

c'est Camille... je vous invite à vivre une nouvelle aventure avec moi. je m'engage dans un nouveau jeu dont je ne connais ni le règles ni la nature... peut être que ça vous donnera des idées... Bienvenue dans le monde des merveilles du sexe !

En ce jour d'anniversaire, je vous préviens, messieurs, vous allez trembler et vous mesdames, vous allez apprécier !

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à suivre...

 

Samedi 18 février 6 18 /02 /Fév 17:19

- Je n'aime pas faire mal aux femmes... dit l'homme de la sécurité.

Difficile à croire lorsqu'on voyait la carrure de l'homme en face d'elle. Elle voyait distinctement ses muscles saillants à travers son haut moulant. Une gifle et elle ne pourrait plus se relever. Bon, pas de bêtises maintenant. Camille prit quelques secondes pour réfléchir et admit en son for intérieur, qu'il fallait lui obéir et qu'elle trouverait l'occasion de lui filer entre les doigts lorsqu'elle serait sortie de cette pièce.

- Vraiment ? Même sans faire exprès ? demanda Camille pour gagner du temps.

Elle découvrit un sentiment étrange qui la parcourut. Face à cet homme, elle se sentait à la très forte et particulièrement faible. Comment pouvait-on lier les deux dans une telle situation ? Il l'empêchait de sortir et rien ne lui interdisait de lui faire mal si l'envie lui prenait. Il lui fallait remettre de l'ordre dans ses pensées. La montée d'adrénaline avait atteint son cerveau et les effets commençaient à s'atténuer. Sa force légendaire était en train de la quitter. Elle se résigna et s'approcha de la chaise. Elle déplia une robe bleue avec des jupons. Elle l'appliqua contre elle et constata que l'homme n'avait pas menti. Ce vêtement avait été fait pour elle. Les dimensions étaient bonnes. Elle observa les coutures et la forme de la robe. Elle baissa les yeux et vit des sous vêtements. Aux pieds de la chaise, elle vit des petites chaussures noirs.

Elle remarqua également un panier en osier posé soigneusement à côté de la chaise métallique. Finalement, qu'est-ce qui pouvait bien la retenir de se lancer dans cette aventure... ? Elle secoua ses boucles rousses et fronça doucement le nez. L'homme fut surpris d'une telle réaction.

- Retournez-vous que j'enfile cette robe.

- Monsieur K. m'a interdit de vous quitter des yeux. Ce soir , ma responsabilité est de vous conduire jusqu'à lui.

Voilà qui changeait bien des choses ! pensa Camille folle de joie. Etait-il encore nécessaire de s'enfuir ?

Camille soupira malgré la joie de cette nouvelle ; elle ne tenait pas à ce que cet homme la vois nue pour se changer. Elle chercha dans sa mémoire quand est-ce qu'un homme l'avait observée se changer. En fait, jamais. Il faut un début à tout !

Elle se tourna, offrant son dos à l'homme chargée de sa sécurité ce soir. Elle retira son chemisier blanc puis dégrafa son soutien-gorge. Toujours tournée, elle sentait le regard le l'homme peser lourd sur elle. Elle fit glisser son soutien-gorge au sol, laissant entre apercevoir un bout de son sein blanc, et entendit l'homme respirer bruyamment. Elle s'empressa de prendre le soutien-gorge vert émeraude posé sur la chaise et l'enfila. Rapidement, elle fit glisser son pantalon sur ses chevilles. L'homme découvrit un long collant clair. Camille retira ses chaussures noirs et déposa non loin d'elle. Elle pinça le haut de son collant et le fit glisser le long de ses jambes. Elle sentit clairement l'excitation de l'homme grimper le long de sa propre colonne vertébrale. Mieux valut ne pas traîner !

Elle serra les cuisses et tenta de retirer sa culotte blanche sans que cela déclenche une érection chez l'homme dans la pièce. Elle la fit glisser long de sa jambe droite et la retira entièrement dans un geste brusque. Elle attrapa les sous-vêtements et découvrit qu'elle tenait dans ses mains un string assorti ainsi qu'un porte jartelle.

- Restez où vous êtes ! ordonna Camille d'une voix autoritaire.

Mais il n'en écouta rien. Il s'approcha et Camille fit immédiatement le tour de la chaise. L'homme passe une main large pour attraper Camille et la saisit par le bras. Elle se débattit mais rien n'y fit. Il lui serra le bras et la souleva. Elle sentit ses mains d'homme sur sa peau blanche. Il touchait son ventre et lui caressait le sein droit à travers le fin tissu de ses dessous.

- Monsieur K. vous a dit que vous deviez veiller sur moi ! pas me faire de mal ! articula Camille en vain.

Il pressa fermement Camille contre lui puis balaya le reste de vêtements. Il l'assit de force sur la chaise froide. Elle sentit tous ses membres se raidir et malgré elle, elle sentit son vagin laisser couler du liquide. Elle ferma les yeux. Il s'accoupit et laisse glisser ses doigts sur les jambes nues de Camille. De fines larmes perlèrent au coin de ses yeux. Mais au lieu de lui faire mal, l'homme réprima son envie et lui enfila le string puis le porte jartelle. Avec une douceur déconcertante, il finit par lui enfiler les bas qui accompagnaient les sous-vêtements. Surprise, Camille se dressa devant l'homme agenouillé devant elle. Elle lui offrait son sexe caché dans un vêtement serré. Il souffla légèrement sur son sexe puis sourit.

Il se releva et prit la robe. Il lui dit, d'une voix grave :

- Levez les bras.

Sans broncher, elle s'exécuta. Il fit glisser la robe sur ses douces formes et ferma ensuite les boutons de la robe, en prenant soin de caresser ses seins. D'un geste il lui indiqua les chaussures. Elle glissa ses pieds dans les patins et se retourna. L'homme se pencha et plongea la main dans le panier. Il tira un serre-tête noir et une brosse à cheveux. Camille s'assit. Ses fesses heurtèrent le froid de la chaise. Elle ne put réprimer un frisson. Il lui brossa les cheveux. Il plaça délicatement l'accessoire sur sa tête et s'éloigna.

- Prenez le panier et suivez-moi. La nuit est courte et nous avons du chemin à faire.

Elle ne comprit pas ces mots mais se mit debout. La robe très courte, combiné aux dessous la glaçait. Il ouvrit la porte et invita Camille à sortir de la pièce métallique. La jeune blonde était toujours là. Elle les regarda et ouvrit une autre porte.

- Si Mademoiselle Alice veut bien se donner la peine d'entrer dans son pays... dit-elle avec un grand sourire découvrant ses dents blanches.

Camille se rendit alors compte, q'uelle avait céder un peu vite à l'armoire à glace. Celui-ci resta en retrait et attendit. Camille avança dans l'étroit couloir. Elle se retourna et dit alors à l'attention du gardien :

- Vous ne venez pas ?

- Je ne serais pas loin... Trouvez le lapin blanc et rejoignez le monde réel, si vous en avez toujours envie !

Face à ces paroles mystérieuses, la blonde ferma la porte sur Camille, la laissant seule avec son panier. Elle s'avança et se retrouva face à 3 portes de couleurs différentes.

- Mais où suis-je tomber ?? s'exclama Camille tenant fermement l'anse de son panier.

- Dans mon petit monde... murmura Monsieur K. depuis la salle de contrôle. Et bien, Camille, que dis-tu de mon petit cadeau pour fêter notre toute première rencontre ? J'ai fait construire ce monde rien que pour toi et moi. J'espère qu'il te plaira...

Camille n'eut pas la possibilité d'entendre ce que venait de déclarer Monsieur K. L'aventure ne faisait ne commencer et elle s'annonçait déjà vigoureuse.

Camille s'approcha des portes et observa les gravures. Devant elle, se trouvait une porte rouge, une bleue et une verte. Elle inspira un grand bol d'air et pressa la poignée de la porte rouge. Elle se retrouva dans une grande pièce dont les murs avaient été recouverts de miroirs. Devant elle, un large lit aux draps blancs. Elle vit un homme attaché par des menottes aux barreaux du lit. La porte rouge se ferma derrière elle. Elle se retourna vivement et voulut ressortir malheureusement la poignée de ce côté-ci de la porte avait été retirée.

Elle déglutit et regarda l'homme allongé sur le lit. Il leva la tête et vit Camille.

- Veux-tu sortir ?

Camille hocha la tête, retenant ses larmes.

- Alors il te faudra trouver la poignée de la porte ! sourit l'homme. Et je sais où elle est... mais il faudra être gentille et me détacher...

Elle se rendit compte que l'homme n'était pas en position de négocier. Camille retrouva alors sa force et sa beauté.

- Dites moi où elle est et seulement là je vous détacherai...

- Bien... elle est dans le matelas du lit. Calée juste au milieu... toujours partante ?

Elle observa l'homme. Il était beau et lui plaisait. Camille fit un pas et se rendit compte que tous les miroirs lui renvoyaient son reflet - à l'infini.

à suivre...

Par camille - Publié dans : camille au pays des merveilles
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